orderfields
Réorganiser les champs d'un tableau de structures.
📝 Syntaxe
S = orderfields(S1)
S = orderfields(S1, S2)
S = orderfields(S1, C)
S = orderfields(S1, P)
[S, Pout] = orderfields(...)
📥 Argument d'entrée
S1 - tableau de structures : structure d'entrée.
S2 - tableau de structures : ordre des champs défini par une structure.
C - tableau cellulaire de vecteurs de caractères ou tableau de chaînes : ordre des champs par nom
P - vecteur numérique : ordre des champs par indice.
📤 Argument de sortie
S - tableau de structures : structure réordonnée.
Pout - vecteur numérique : ordre de champs en sortie.
📄 Description
S = orderfields(S1) trie les champs de S1 par ordre alphabétique selon leurs noms, en considérant les majuscules avant les minuscules; les chiffres et underscores sont également pris en compte.
S = orderfields(S1,S2) renvoie une copie de S1 avec ses champs réorganisés pour correspondre à l'ordre des champs de S2. Les deux structures S1 et S2 doivent partager les mêmes noms de champs.
S = orderfields(S1, C) correspond à l'ordre spécifié dans le tableau d'entrée C. Chaque nom de champ de S1 doit apparaître une fois dans C.
S = orderfields(S1, P) réorganise les champs en fonction du vecteur de permutation P. P contient des entiers de 1 à n, où n est le nombre de champs dans S1. Cette syntaxe est utile pour maintenir un ordre cohérent entre plusieurs tableaux de structures.
[S, Pout] = orderfields(...) renvoie également un vecteur de permutation Pout, indiquant les changements d'ordre des champs. Pout est composé d'entiers de 1 à n, reflétant les positions réordonnées des champs. Cette syntaxe est compatible avec n'importe quel des arguments précédemment mentionnés.
orderfields n'organise que les champs de premier niveau et n'opère pas de manière récursive.
💡 Exemple
s = struct ("d", 4, "b", 2, "a", 1, "c", 3);
tA = orderfields (s)
t = struct ("d", {}, "c", {}, "b", {}, "a", {});
tB = orderfields (s, tA)
🔗 Voir aussi
🕔 Historique
1.5.0
version initiale
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